Le partenaire silencieux dans l’annonce des zones de conservation
L’annonce récente du ministre des ressources naturelles, Mike Holland, quant aux doublements des terrains publics dédiés à la conservation est célébrée par la communauté de conservation de la province. C’est un accomplissement important et pour la majorité de l’industrie forestière, c’est un pas positif afin de garder notre paysage naturel viable.
L’industrie forestière a longtemps été un partenaire silencieux dans cette tâche et il y a une histoire importante qui manque des communiqués de presse, des photos et des publications sur les réseaux sociaux de l’annonce du ministre. Ça commence, il y a presque trois années passées, lorsqu’un employé senior du Département de l’Énergie et du développement des ressources naturelles, a demandé pour une rencontre avec les chefs forestiers des grandes entreprises forestières. Forêt NB a convoqué la rencontre dans le but d’explorer les possibilités de trouver des lieux additionnels qui pourraient être ajoutés dans les zones de conservation, sans affecter l’industrie; une proposition difficile.
Avec plus de 200 ans d’expérience combinée en gestion des forêts rassemblées dans la rencontre, ça l’a été voté par tous que oui, il avait de la place pour plus. En effet, il y avait déjà plus de terrains à conserver puisqu’ils étaient hors d’usage la récolte de bois ou non cartographié, car plusieurs ruisseaux sont secs ou non identifiés jusqu’à ce qu’un forestier marche dans la forêt, en préparation pour identifier une récolte et accommoder de genre de découverte.Selon une estimation modeste, il y avait déjà près de 40% de la forêt publique en état de conservation lorsque ces zones supplémentaires étaient prises en compte et ajoutées aux 23% désignés par les provinces, dont 4% dans des zones naturelles protégées.
Ainsi, ce que nous savions réalisable a été mis en pratique aujourd’hui en grande partie grâce à la collaboration et à la coopération dont fait preuve l’industrie afin de valider ce qui pourrait être mis de manière durable dans les domaines de la conservation, tant sur le plan environnemental qu’économique. Mais ce qui a vraiment permis cette évolution vers une plus grande conservation est une gestion forestière efficace. Malgré toutes les critiques formulées à propos de la loi sur les terres publiques et les forêts de la Couronne et du style de gestion qu’elle permet, y compris l’utilisation d’herbicides, la coupe à blanc et les plantations. C’est essentiellement celle-ci qui a fourni le bois nécessaire pour compenser une éventuelle perte d’approvisionnement en bois. résultant de la mise en conservation des terres.
Cela a pris du temps, mais le système a fonctionné et grâce à une gestion continue et à un accès aux outils de gestion forestière, nous pouvons peut-être même renforcer nos attentes en matière de conservation, tout en assurant l’approvisionnement en bois de notre industrie. Les aspirations supplémentaires en matière de conservation doivent également être envisagées sous l’angle de la pleine durabilité. Placer les terres, en particulier les forêts exploitées, en conservation pour de simples objectifs de conservation n’est pas une bonne politique. Ça doit être utile. Soyons prudemment optimistes : au cours des prochains mois, nous pourrons traduire notre nouveau numéro de conservation en une contribution concrète et utile d’objectifs clairement énoncés en matière de biodiversité, de protection des milieux aquatiques et de préservation de l’habitat, et non pas simplement en un exercice de plus en plus important. Le vrai travail commence maintenant et, comme nous étions là-bas alors que ce n’était qu’une idée fictive il y a trois ans, nous voudrons continuer à collaborer pour en faire un succès.
Mike Légère, Directeur Exécutif de Forêt NB